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L'AIR DU TEMPS

PREHISTOIRE -LE MONDE PERDU


Franceinfo - le jeudi 2 janvier 2025 - Royaume-Uni - Près de 200 empreintes de dinosaures ont été découvertes

 

 


02/01/2025
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Franceinfo - le lundi 23 décembre 2024 - Russie - Mammouth quasi intact vieux de 50 000 ans

 

 

 

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Image par Stefan Keller de Pixabay


24/12/2024
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Franceinfo - le mercredi 18 décembre 2024 - Grotte Chauvet

 

 


18/12/2024
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Franceinfo - le samedi 17 février 2024 - Eure : un crâne de mammouth vieux de 40 000 ans

 

 


18/02/2024
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Franceinfo - le mercredi 8 novembre 2023 - Fonte des glaces

 

 


09/11/2023
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Franceinfo - le dimanche 3 juillet 2022 - Site de fouilles dans la Manche

 

Archéologie : sur les traces de l'homme de Néandertal au Rozel, un site de fouilles unique au monde

 


05/07/2022
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Franceinfo - le mardi 21 décembre 2021 - Embryon de dinosaure

 

Chine : un embryon de dinosaure parfaitement fossilisé et prêt à éclore a été découvert

 


22/12/2021
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Franceinfo - le mercredi 22 juillet 2020 - mis à jour le 23.07.2020

 

 

 

 

 

 

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https://www.science.lu/fr/le-peuplement-lamerique-du-nord-remonte-30000-ans.

 


23/07/2020
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Franceinfo - le mercredi 11 décembre 2019

 

 

La plus ancienne scène de chasse de l'art préhistorique dénichée en Indonésie

 

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franceinfo avec AFPFrance Télévisions

 

 

Elle a été peinte il y a plus de 40 000 ans. A titre de comparaison, les peintures rupestres en France de la grotte de Chauvet remontent à environ 35 000 ans, celles de Lascaux à environ 20 000 ans

 

 

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Une scène de chasse préhistorique peinte il y a plus de 40 000 ans a été découverte dans une grotte en Indonésie, rapporte une étude publiée le 11 décembre 2019 dans "Nature". (RATNO SARDI / GRIFFITH UNIVERSITY / AFP)

 

 

 

C'est sans doute la plus ancienne œuvre d'art figuratif connue. Une scène de chasse préhistorique peinte il y a plus de 40 000 ans a été découverte dans une grotte en Indonésie, rapporte une étude publiée mercredi 11 décembre dans Nature (lien en anglais). Ses représentations, mi-humaines mi-animales, suggèrent une culture artistique aboutie voire les prémices d'une religion. Sur un panneau large de 4,5 mètres, on voit six mammifères (des cochons sauvages et des buffles nains) poursuivis par un groupe de chasseurs armés de lances et de cordes. Ces chasseurs sont dessinés avec un corps humain, mais une tête d'animal (oiseau, reptile, etc) - des figures dites "thérianthropes".

 

 

Cette peinture monochrome avait été dénichée en 2017 sur les parois de calcaire d'une grotte sur le site de Leang Bulu Sipong, sur l'île indonésienne de Célèbes, dans un état assez dégradé. Pour dater l'oeuvre, une équipe de l'Université australienne de Griffith s'est servie d'une méthode de datation très précise qui utilise de l'uranium-thorium sur les boursouflures minérales (appelées "pop-corn") agglomérées sur la peinture.

 

 

 

L'œuvre "âgée d'au moins 43 900 ans"

Selon les chercheurs, la peinture remonte à la période du Paléolithique supérieur et est "âgée d'au moins 43 900 ans". Ce qui en fait selon eux "la plus ancienne scène de chasse de l'art préhistorique" connue à ce jour. Il s'agit même, "à [leur] connaissance, de la plus ancienne oeuvre d'art figuratif au monde". Elle détrône ainsi la sculpture en ivoire d'un homme à tête de lion trouvée en Allemagne, considérée jusqu'ici comme la plus ancienne représentation d'une créature thérianthrope (40 000 ans), explique l'étude. A titre de comparaison, les peintures rupestres en France de la grotte de Chauvet (Ardèche) remontent à environ 35 000 ans, celles de Lascaux (Dordogne) à environ 20 000 ans.

 


15/12/2019
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Franceinfo - le mercredi 6 novembre 2019 - mis à jour le 07.11.19

 

 

Jérusalem : une découverte archéologique qui bouleverse notre connaissance sur le néolithique

 

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France 2France Télévisions

 

 

Un site archéologique vieux de 9 000 ans a été découvert près de Jérusalem (Israël). Celui-ci bouleverse nos connaissances sur la période néolithique. Les spécialistes, eux, évoquent un Big Bang de la recherche préhistorique et archéologique

 

 

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de Google

 

 

Comme souvent, la découverte fut le fruit du hasard, sur le chantier d'une nouvelle route, à 6 km de Jérusalem (Israël). On y a découvert un site archéologique d'une ampleur et d'une richesse insoupçonnées, enfoui depuis des millénaires à quelques mètres à peine sous la surface. Pour Jacob Vardi, archéologue membre de l'Autorité des antiquités d'Israël, il s'agit du couronnement d'une carrière déjà bien remplie. Tout ce qui peut avoir le moindre intérêt archéologique est soigneusement mis de côté. Dès le premier coup de pelle, les archéologues ont compris que ces fouilles allaient éclairer d'un jour nouveau ce qu'ils savaient de l'époque néolithique dans la région du Levant.

 

 

 

Une découverte incroyable

Plus de 300 personnes se sont relayées. Elles ont récolté des dizaines de milliers d'objets. Parmi eux, une statuette représentant un bœuf ou un taureau, un bracelet, un pendentif en forme de tête humaine retrouvé dans une tombe... Mais ce qui a le plus de valeur aux yeux des scientifiques, ce ne sont pas les sculptures, mais bien un plat de lentilles. "Pour nous, c'est une preuve indiscutable de leur mode de vie. Ces lentilles que nous avons retrouvées par milliers dans un grenier à grains constituent une découverte incroyable. Elles sont carbonisées, c'est pour cela qu'elles sont bien conservées alors qu'elles ont 9 000 ans", souligne Jacob Vardi. Bientôt, les travaux de construction reprendront et les ruines seront recouvertes par des engins de terrassement. Désormais, c'est au musée qu'on pourra admirer les trésors qu'elles recelaient.

 


07/11/2019
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Franceinfo - le jeudi 16 mai 2019

 

 

L'ancêtre commun des humains modernes et de Néandertal est sans doute plus ancien qu'on ne le croyait

 

 

 

L'étude fait remonter à une date plus ancienne que le consensus scientifique actuel l'âge du dernier ancêtre commun d'Homo sapiens et des néandertaliens

 

 

 

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Un chercheur montre une dent fossilisée datant de 80 000 à 120 000 ans avant notre ère, en Chine, le 16 octobre 2015. (LI GA / XINHUA / AFP)

 

 

 

Les scientifiques qui enquêtent sur les origines des humains ont réalisé d'immenses progrès grâce à l'amélioration récente des techniques d'analyse de l'ADN ancien. Une nouvelle étude se repose sur une méthode alternative pour remonter dans le temps : l'analyse de dents humaines fossilisées.

 

 

L'étude, publiée mercredi 15 mai dans la revue Science Advances, fait remonter à une date plus ancienne que le consensus scientifique actuel l'âge du dernier ancêtre commun d'Homo sapiens (notre espèce) et des néandertaliens, soit 800 000 ans au lieu de 400 000 à 600 000 ans.

 

 

 

Des travaux qui font débat

Mais ces travaux, menés par Aida Gomez-Robles de l'University College de Londres, font débat chez les anthropologues, dont certains contestent la précision de la méthodologie utilisée par la chercheuse. L'étude part d'une trentaine de molaires et prémolaires retrouvées dans les cavernes de Sima de los Huesos en Espagne, et qui appartenaient aux premiers hommes et femmes de Néandertal. Elle a aussi analysé des fossiles provenant de sept autres espèces humaines anciennes.

 

 

Les dents de Sima de los Huesos ont été datées en 2014 par des techniques fiables à 430 000 années. Cette datation indiquait déjà en soi que la "divergence" entre sapiens et Néandertal s'était donc produite avant 400 000 années. Mais quand ? Pour calculer à quand remonte cet ancêtre commun, la chercheuse a utilisé un modèle statistique qui part du principe que la forme des dents humaines évolue à un rythme constant. Le but est de remonter suffisamment loin dans le temps pour trouver un ancêtre capable à la fois d'avoir conduit aux dents des humains de Sima de los Huesos, et aux dents des humains modernes.

 

 

C'est avec ce calcul qu'Aida Gomez-Robles arrive à la conclusion que nos ancêtres et ceux de Néandertal ont "divergé" il y a 800 000 ans. La conséquence immédiate de ces travaux est qu'ils élimineraient l'homme d'Heidelberg (Homo heidelbergensis) comme l'ancêtre commun tant recherché.

 


16/05/2019
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Franceinfo - le dimanche 12 mai 2019

 

 

Kourou : des fossiles marins datant de 120 millions d'années découverts sur le site d'Ariane 6

 

 

Jocelyne Helgoualch/MC Thébia

 

 

 

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© J HELGOUALCH Huîtres fossilisées

 

 

 

Une découverte paléontologique sur le chantier du futur lanceur Ariane 6 au CSG à Kourou. Des ouvriers ont découvert en avril dernier en creusant au pied du pas de tir du prochain lanceur, de nombreux fossiles marins qui dateraient de 120 millions d'années. C'est une 1ere en Guyane...

 


12/05/2019
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Franceinfo - le jeudi 18 avril 2019

 

 

L'un des plus grands mammifères carnivores terrestres découvert au Kenya

 

 

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franceinfo avec AFPFrance Télévisions

 

 

 

Cet animal, vieux de 23 millions d'années, répond au doux nom de "Simbakubwa kutokaafrika"

 

 

 

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Représentation du "Simbakubwa kutokaafrika" diffusée le 18 avril 2019 par l'université de l'Ohio (Etats-Unis). (MAURICIO ANTON / OHIO UNIVERSITY / AFP)

 

 

 

Un lion, mais en sept fois plus gros. Des dents et des fragments d'os vieux de 23 millions d'années découverts au Kenya ont permis d'identifier l'un des plus grands mammifères carnivores ayant foulé la Terre, selon une étude publiée mercredi 17 avril dans le Journal of Vertebrate Paleontology (en anglais).

 

 

L'inquiétant animal, baptisé Simbakubwa kutokaafrika ("grand lion d'Afrique" en swahili) pesait dans les 1 500 kg et était capable de s'attaquer à des animaux de la taille des éléphants et des hippopotames. "Au vu de ses dents massives, Simbakubwa était un hypercarnivore", explique l'auteur principal de l'étude.

 

 

Les restes de l'animal avaient été découverts il y a des dizaines années mais avaient été attribués à une espèce plus petite, Hyainailouros napakensis. Ils attendaient depuis au musée national de Nairobi.

 


18/04/2019
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