Le Progrès du dimanche 5 juillet 2015
UNION EUROPEENNE - Oxi-non ou Nai-oui : la Grèce et l'euro à pile ou face. Jour J pour le référendum d'Alexis Tsipras sur la crise de la dette. Non (Oxi) ou oui (Nai) aux propositions de rigueur exigées par ceux qui ont prêté de l'argent à la Grèce ? Après cinq ans d'austérité et cinq mois de gouvernement de gauche radiale, les Grecs se prononcent aujourd'hui. Sans savoir laquelle des deux options sera la moins douloureuse.
315 milliards d'euros, soit plus de 175 % du Produit Intérieur Brut : la dette de la Grèce ne cesse de s'alourdir malgré l'effacement de 100 milliards de créances en 2012. Le gouvernement d'Alexis Tsipras réclame un nouvel effacement de cet ordre (30 % de la dette totale). Les créanciers s'y opposent.
"On voit bien une crainte, dans les sondages réalisés en France, d'un effet de contagion économique. Ils n'imaginent pas que la crise s'arrêterait à la frontière. Un quart seulement des Français fait confiance au président quand il dit qu'il n'y a rien à craindre. Bernard Sananès, Sondeur, président d'ELABE
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