le Progrès du jeudi 4 mais 2017
Avant même le début des négociations le Brexit, le Royaume-Uni et l'Union Européenne s'écharpent. Chaque partie accuse l'autre de mensonges et de vouloir faire capoter l'accord.
Dans le dossier sur le Brexit, le ton monte. "Certains à Bruxelles ne veulent pas que le Royaume-Uni réussisse", a déclaré hier Theresa May. Devant sa résidence londonienne du 10, Dowing Sreet, sur un ton ferme, la Première ministre a ajouté : "La commission européenne a durci sa position de négociation. Des menaces ont été proférées contre le Royaume-Uni par des politiciens et responsables européens. Tout cela était délibérément programmé pour influencer le résultat des élections législatives du 8 juin". Elle a anticipé le scrutin
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