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AUTOMOBILE - Salon de Genève : vers la fin de la voiture "moyenne". Le salon international ouvre ses portes du jeudi 6 mars jusqu'au dimanche 16 mars. Comment PSA et Renault voient-ils notre avenir automobile ? Demain, les voitures ne voleront pas mais les villes grandissant autant que la tentation des belles choses, elles créent des opportunités de nouveaux modèles que les constructeurs français sont en train de saisir.

 

 

700 000, c'est le nombre de visiteurs attendus à cette 84e édition du Salon international de l'automobile à Genève à Palexpo. 250 exposants y seront répartis sur un espace de 110 000 m2. 900 voitures et 146 premières mondiales y seront présentées.

 

 

 

 

UKRAINE - Moscou prêt à une intervention militaire. La Crimée est déjà entièrement sous contrôle russe. Vladimir Poutine a déployé sans heurts des milliers de soldats en Crimée, région pro-russe stratégique pour Moscou. Et il a obtenu hier le feu vert pour intervenir en Ukraine "jusqu'à la normalisation de la situation politique".

 

 

 

ESPAGNE - L'ETA confirme son désarmement. Plus de deux ans après avoir abandonné définitivement la violence, l'ETA s'est engagé dans un communiqué publié hier par le journal basque Gara à mettre "hors d'usage" son arsenal. L'ETA confirme aussi l'annonce faite le 21 février à Bilbao (Espagne) par la Commission internationale de vérification du cessez-le-feu.

 

 

 

 

 

 

 

SOCIETE - Crise d'adolescence difficile ou violences intrafamiliales. Près de 50 000 jeunes fuguent chaque année. La fuite des adolescents du domicile familiale est un phénomène sous-estimé, selon le Centre français de protection de l'enfance (CFPE Enfants disparus) qui organise un colloque sur le sujet la semaine prochaine.

 

 

116 000, c'est le numéro de téléphone, gratuit, que vous pouvez appeler 24 heures sur 24 et sept jours sur sept pour signaler la disparition d'un enfant dans le cadre de fugues, d'enlèvements parentaux et de disparitions inquiétantes de mineurs.

 

 

"Lorsque les fugues se répètent, je pense que les parents doivent se faire aider. Cela permet de prendre de la distance par rapport à la situation et d'apprendre à regarder son enfant d'un oeil nouveau pour mieux répondre à sa souffrance". Marcel Rufo Pédopsychriatre

 

 

 

 

UKRAINE - Les pro-Russes tiennent les deux aéroports principaux de Belbek et Simféropol. Situation explosive en Crimée. Alors que le président Ianoukovitch réfugié en Russie affirme que son pays se trouve aux mains de "jeunes néo-fascistes", l'espace aérien de la Crimée a été fermé... Sauf aux avions russes qui débarquent des troupes, selon Kiev.

 

 

"L'invasion"

 

Hier soir, cependant, les Ukrainiens dénonçaient une "invasion russe" en Crimée. Des transports de blindés étaient signalés entre Simféropol et Sébastopol et un haut responsable ukrainien annonçait que l'espace aérien en Crimée avait dû être fermé "en raison du grand nombre d'atterrissages d'avions et d'hélicoptères russes". 2000 soldats russes avaient été débarqués hier soir, selon lui.

 

 

 

 

 

 

 

UKRAINE - Crimée : le risque d'escalade militaire. Crainte d'une intervention russe : le monde entier a les yeux rivés sur Sébastopol. Moscou a mis des troupes en alerte alors que des hommes armés ont placé un drapeau russe au siège du gouvernement régional de Crimée. Faute de mieux, les occidentaux appellent à l'apaisement.

 

 

 

 

PREMIER PLAN - Au Nigeria hier, Hollande vendredi en Centrafrique. En visite au Nigeria, hier, le président français François Hollande a assuré le géant ouest-africain du soutien de la France dans son "combat" contre le groupe islamiste radical Boko Haram qui déstabilise le nord musulman du pays. Au moins 32 personnes ont ainsi été tuées au cours de trois attaques menées depuis mercredi soir par Boko Haram. Aujourd'hui, François Hollande doit faire étape à Bangui, en Centrafrique, où il s'adressera aux troupes françaises et rencontrera la présidente de transition Catherine Samba Panza. C'est la deuxième fois que François Hollande se rend dans ce pays depuis le 5 décembre, date du déclenchement de l'opération militaire "Sangaris".

 

 

 

 

VENEZUELA - Les étudiants redescendent dans la rue. Alors que le Venezuela commémorait le "Caracazo", insurrection populaire de 1989 contre le président Carlos Andres Perez qui avait fait des centaines de morts, les étudiants ont de nouveau appelé hier à battre le pavé à Caracas. Des manifestations sous haute tension alors que 14 personnes ont été tuées et 140 blessées depuis le début du mouvement le 4 février. Depuis le début des manifestation, plusieurs ONG ont alerté sur des violations présumées des droits de l'homme par les forces de sécurité. La Commission européenne s'est dite hier "alarmée" par le placement en détention d'étudiants et de responsables politiques.

 

 

 

 

MUNICIPALES - Les grandes batailles de 2014. Juppé dans un fauteuil à Bordeaux. A Bordeaux, toute la question est de savoir si Alain Juppé, 68 ans, sera élu ou pas dès le premier tour. Le sage de l'UMP, qui brigue un quatrième mandat, a transformé la ville. Même ses adversaires le reconnaissent.

 

 

 

 

COLLECTIVITES TERRITORIALES - Les maires, boucs émissaires ? Une deuxième loi de décentralisation est en préparation. C'est peu dire que les représentants de l'Association des maires de France ne sont pas sortis rassurés de leur rencontre, hier, avec le Premier ministre. "Après des baisses de dotation de 4,5 milliards d'euros en 2014 et 2015 on nous annonce encore des sommes considérables pour 2016 et 2017", constate André Rossinot, maire UDI de Nancy et secrétaire général de l'Association des maires de France. Il met en garde : "L'argent des collectivités est réinjecté dans l'investissement territorial qui représente 70 % de l'investissement public. Si cet investissement régresse cela posera un vrai problème".

 

 

Le maire de Nancy dénonce un "malaise" et n'hésite pas à évoquer de possibles "jacqueries communales". "On va aller vers des tensions très fortes entre l'Etat et les collectivités", prévient-il. "Il faut arrêter le procès en sorcellerie du monde territorial. Les élus locaux ne doivent pas devenir les boucs émissaires "de l'austérité".

 

 

Simplifier le millefeuille

 

Le second texte de décentralisation se donne pour ambition de simplifier le millefeuille administratif qui coûte si cher. Le chef de l'Etat a évoqué le fusion de régions. La loi à venir devrait également permettre de faciliter des fusions de communes. Problème : si la méthode choisie passe par le volontariat, ce qui est probable, il faudra des incitations financières. Or, les caisses sont vides. Les régions sont appelées à devenir les pivots de développement économique, en liaison avec les métropoles, mais les moyens que l'Etat devrait leur transférer dans ce domaine sont presque symboliques. Pas de quoi rassurer les élus, y compris dans la majorité. André Laignel, maire PS d'Issoudun (Indre) a souligné, lui aussi, hier à la sortie de Matignon, que les efforts demandés aux élus locaux pourraient "entraîner des reculs pour nos concitoyens en termes de services à la population et d'investissements".

 

 

André Rossinot demande un débat parlementaire après les municipales pour lever le flou sur la politique territoriale. "Il faut aller au-delà des discussions techniques sur la loi de décentralisation", insiste-t-il, "il n'y a jamais eu ce débat stratégique sur l'ensemble du processus de décentralisation. Nous avons besoin de savoir où nous allons". François Sauvadet, président UDI du conseil général de la Côte-d'Or, reprend l'image des "boucs émissaires" et accuse le gouvernement de "faire les poches" des collectivités.

 

 

 

 

ECONOMIE - Le moral des ménages en baisse. Selon l'INSEE, l'indicateur synthétique mesurant le moral des consommateurs français à baissé d'un point en février, à 85 points, ce qui s'explique par une préoccupation croissante des ménages face au chômage et par un pessimisme en hausse sur le niveau de vie futur en France. L'Insee relève qu'en février, après deux mois de hausse, l'opinion des ménages sur le niveau de vie futur s'était contractée de 5 points.

 

 

 

 

 

 

 

 

UKRAINE - Des troupes russes à la frontière. Poutine lance des manoeuvres tandis qu'à  Kiev, le pro-européen Arseni Iatseniouk a pris la tête du gouvernement. A kiev, le pro-européen Arseni Iatseniouk a été désigné hier soir à la tête du gouvernement ukrainien. De l'autre côté de la frontière, le président russe Poutine, a accentué la pression sur l'Ukraine en ordonnant la tenue de manoeuvres militaires.

 

 

Comment interpréter les exercices militaires de l'armée russe sur la frontière qui sépare l'Ukraine de la Russie ? C'est l'inquiétude dans les chancelleries occidentales.

 

 

 

 

VENEZUELA - Le président Maduro ouvre un dialogue national. Confronté à trois semaines de protestation contre sa gestion et de manifestations étudiantes émaillées de violences, le président vénézuélien Nicolas Maduro devait ouvrir hier un dialogue national pour mettre fin à la crise. Les modalités de cette conférence à laquelle "tous les courants sociaux, politiques, corporatistes, religieux" ont été invités, n'ont toutefois pas été précisées par l'héritier politique d'Hugo Chavez, Henrique Capriles, battu d'un cheveu par M. Maduro à l'élection présidentielle d'avril, a déjà annoncée qu'il n'y participerai pas.

 

 

 

TURQUIE - La rue se remet à gronder. Des milliers de personnes ont à nouveau défilé à Istanbul et Ankara pour dénoncer la corruption du régime du Premier ministre Recep Tayyip Erdogan, dont le gouvernement a promulgué une loi très critiquée renforçant son emprise sur la justice. Dans la capitale, la police est intervenue avec des gaz lacrymogènes pour disperser le cortège qui marchait sur le Parlement. La publication lundi soir sur YouTube de l'enregistrement de plusieurs conversations téléphoniques compromettantes attribuées au Premier ministre et à son fils Bilal avait relancé la polémique.

 

 

 

MUNICIPALES - Plus de 7 000 communes sans candidat. Les nouvelles règles bouleversent les habitudes et sont parfois dissuasives. Dans beaucoup de communes, le vote du 23 mars pourrait être inutile : le dépôt des candidatures avant le 6 mars et l'obligation de listes entières et paritaires à partir de 1000 habitants créent une pénurie.

 

 

 

ENVIRONNEMENT - Transition énergétique : la loi se fait attendre. La présentation du projet de loi sur la transition énergétique doit finalement avoir lieu avant l'été 2014. "Les délais seront tenus", assurait encore Philippe Martin, ministre de l'Ecologie, il y a quelques semaines. La loi, qui doit mettre en musique l'engagement présidentiel de réduire de 75 à 50 % la part de l'électricité d'origine nucléaire et fermer la centrale de Fessenheim, était annoncée comme l'un des "textes les plus importants" du quinquennat.

 

 

 

SANTE - L'e-cigarette fait baisser les ventes de tabac. Selon une étude de l'observatoire des drogues et des toxicomanies. La cigarette électronique, qui connaît un succès grandissant, a contribué à la diminution des ventes de tabac en 2013. Cette hypothèse doit être confirmée par une enquête.

 

 

 

TELECOMMUNICATIONS - Internet : la guerre des box. Bouygues baisse les prix. Qui dit mieux ? La guerre des prix dans l'internet fixe est relancée avec l'offre de Bouygues Télécom. L'opérateur téléphonique propose un forfait mensuel à 19,99 euros comprenant l'internet haut débit, la télévision jusqu'à 165 chaînes ainsi que les appels vers les fixes illimités en France et vers 121 destinations. Il faudra en revanche débourser 6 euros de plus par mois pour  notamment pouvoir appeler vers les mobiles en France.

 

 

 

 

 

 

EMPLOI - Près de sept millions de vrais-faux chômeurs. Les chiffres du marché du travail sont publiés ce soir. Ils sont stagiaires, intérimaires, chômeurs des catégories B et C, exercent des petits jobs : dans un halo autour des 3,1 millions de chômeurs gravite une population de 7 millions de personnes en quête de travail.

 

 

16 % la proportion de personnes actives en France qui ne gagnent pas le Smic tous les mois de l'année selon l'observatoire des salaires. Plus de 68 % a moins de 35 ans. Les femmes représentent 72 % des personnes concernées.

 

 

Après l'inversion ratée, la stabilisation réussie ? C'est l'espoir du gouvernement.

 

 

 

 

AMERIQUE DU SUD - Venezuela : la spirale de la violence. Dérive autoritaire à Caracas où les manifestations ne cessent pas. Le président Nicolas Maduro a choisi de manier le bâton face à la contestation. Il réprime les manifestants, muselle la presse et fait emprisonner l'opposant Léopoldo Lopez. Jusqu'où ?

 

 

 

 

NIGERIA - Attaque sanglante de Boko Haram au lycée. Au moins 43 morts dans l'état de Yobe. L'horreur. Des membres présumés de Boko Haram ont attaqué hier, vers deux heures du matin le dortoir d'un lycée du nord-est du Nigeria, dans l'Etat de Yobe, accueillant des élèves âgés de 11 à 18 ans.

 

 

Boko Haram, dont le nom signifie "l'éducation occidentale est interdite", a attaqué de nombreuses écoles dans le nord du Nigeria depuis le début de son insurrection en 2009.

 

 

Le Venezuela s'enfonce dans la crise tandis que les positions des uns et des autres se radicalisent. Hier encore, les étudiants sont descendus dans la rue à Caracas malgré la répression de plus en plus violente menée par les forces anti-émeutes. Le mouvement a débuté au début du mois à San Cristobal, dans l'Etat de Tachira, dans l'Ouest, après le viol d'une étudiante.

 

 

Les premières marches furent organisées pour dénoncer l'insécurité. Puis, la vague de protestation a enflé pour s'étendre à tout le pays.

 

 

 

 

MUNICIPALES - Les grandes batailles de 2014. A Forbach, le FN fait la course en tête. Les projections d'intention de vote placent le Front national en tête au premier tour des municipales dans cette ville ouvrière de Lorraine au coeur du bassin sidérurgique.

 

 

 

NUCLEAIRE - Les centrales vivront-elles 60 ans ? L'association écologiste Greenpace conteste les données d'EDF. Le coût de la remise aux normes des centrales nucléaires serait quatre fois plus important que ce que prévoit EDF, selon Greenpace. Plus largement, le prolongement de leur durée de vie  pose question.

 

 

 

 

 

 

AFRIQUE - Pourquoi les Français vont encore rester en Centrafrique. Débat parlementaire aujourd'hui sur la prolongation de la mission de l'armée française. La France s'enfonce chaque jour un peu plus dans le bourbier centrafricain. Sur place, la situation catastrophique empêche tout retrait à brève échéance. Les soldats français vont rester longtemps.

 

 

Violences à grande échelle

 

Aujourd'hui, en tout cas, le cancer de la haine s'est répandu dans tout le pays. A Bangui, un calme très précaire règne en raison de la présence des troupes françaises de l'opération Sangaris et e celles de la force africaine Misca. Cela n'empêche p as des meurtres quotidiens, des pillages et des exactions. Désormais, ce sont  les musulmans qui fuient, pourchassés par les milices chrétiennes anti-balaka. Sur les 24 mosquées que comptait la capitale de la Centrafrique, il n'en reste plus que six. Les autres ont été pillées, détruites ou brûlées.

 

 

Chrétiens contre musulmans ?

 

En 2013, les milices islamistes des rebelles Séléka venus du nord ont mis le pays à feu et à sang, violant et massacrant les civils dans les villages chrétiens, jusqu'à prendre Bangui. Une fois installés sans la capitale, les Séléka ont poursuivi leurs exactions, sous l'égide de l'ex-président Michel Djotodia et des sa clique d'hommes politiques fantoches. Chassés du pays dans la foulée de l'opération Sangaris, les mêmes ont poursuivi leurs tueries en se repliant vers le Tchad.

 

 

En réponse, les milices chrétiennes anti-balaka ont ciblé les civils musulmans, commettant des atrocités qui durent toujours, malgré la présence internationale. Les musulmans, femmes et enfants compris, sont pourchassés, battus, torturés, tués à  la machette, dépouillés...

 

 

Faut-il pour autant en déduire que la pays a sombré dans la haine religieuse ? Chrétiens contre musulmans ... C'est un peu simpliste. Depuis le début des évènements, l'archevêque de Bangui, Dieudonné Nzapalainga, et l'imam de la capitale centrafricaine, Oumar Kobine Layama, conjurent leurs concitoyens de déposer les armes et de mettre un terme à toutes les violences. En province, des prêtres et des imams collaborent pour tenter de stopper le génocide. Pour l'instant, ils semblent peu écoutés. Mais les chefs des communautés religieuses représentent l'espoir d'un apaisement dans ce pays de 4,6 millions d'habitants dont 1 million est déplacé, alors que les ports se comptent par milliers, sans même la possibilité d'un bilan fiable. L.B

 

 

 

 

UKRAINE - "La Russie est incontournable". Alors que Moscou dit douter de la légitimité du nouveau pouvoir. Les Ukrainiens veulent en finir avec le marasme post-soviétique, analyse Laurent Chamontin, spécialiste du monde russe. Selon lui, la réaction de Moscou dépendra des développements à Kiev et à Bruxelles.

 

 

 

 

 

OUGANDA - Homosexualité : une loi durcit la répression. Une loi durcissant la répression de l'homosexualité a été signée hier en Ouganda. Les relations homosexuelles sont déjà passibles de la prison à vie dans ce pays, mais cette législation interdit toute "promotion" de l'homosexualité et rend obligatoire la dénonciation de quiconque s'affichant homosexuel(le). Près de trois quarts des pays africains, à l'exception notable de l'Afrique du Sud, disposent de législations interdisant ou réprimant l'homosexualité.

 

 

 

 

POLITIQUE - Un remaniement, oui mais quand ? Polémiques et couacs affaiblissent l'autorité du premier Ministre. Jean-Marc Ayrault sera-t-il encore Premier ministre cet été ? Après l'hypothèse d'un remaniement à la suite des Européennes, il y a celle d'un nouveau gouvernement avant le scrutin du mois de mai...

 

 

 

 

LEGISLATION - Les maires anti-mariage gay ne lâchent pas. Ils réclament une clause de conscience. Un collectif de 13 maires français a saisi hier, à Strasbourg, la Cour européenne des droits de l'Homme (CEDH), après le refus du Conseil constitutionnel de leur octroyer une "clause de conscience", qui leur aurait permis de ne pas célébrer de mariages gays.

 

 

 

 

 

GASTRONOMIE - Sélection du guide Michelin 2014. La France, le pays le plus étoilé. Comme prévu, Arnaud Lallement devient à 39 ans le 27e chef à bénéficier des trois étoiles du guide rouge qui marque la montée en puissance d'une nouvelle génération. La sélection 2014 est clairement placée sous le signe de la tradition et de l'innovation, tout en mettant en avant la jeunes génération.

 

 

"Lorsque nos inspecteurs sont sur les routes de France, explique Michael Ellis, directeur international du Guide Michelin, ils sont à la recherche de tables uniques, qui valent le voyage, capables de surprendre et de susciter les plus grandes émotions.

 

 

 

 

 

 

TECHNOLOGIE - Les drones sont déjà là et vont envahir le ciel. Civils ou militaires, ces engins télépilotés permettent des applications multiples. Premier pays au monde à s'être doté d'une réglementation à propos de ces aéronefs, la France voit le marché exploser. Particuliers, avec des jouets, et professionnels de tous les secteurs s'équipent.

 

 

250 start-ups spécialisées dans les drones ont été créées en moins de dix-huit mois en France, sur 400 au total. Elles regroupent un millier de salariés, avec comme marchés de prédilection les médias, la communication et le cinéma, essentiellement pour la prise de vue.

 

 

"Je sais que cela ressemble à de la science-fiction. Mais ce n'en est pas. Avec les drones, nous pourrions livrer dans un rayon de 16 km nos clients ayant passé commande, pour des paquets jusqu'à 2,3 kg. Soit 86 % des livraisons effectuées par Amazon." Jeff Bezos, P-dg d'Amazon

 

 

 

 

UKRAINE - Une nouvelle ère et des urgences. L'ancien président introuvable, un gouvernement de transition nommé. L'Ukraine est entrée hier dans une phase de transition en se dotant d'un chef de l'Etat par intérim en remplacement de Vicktor Ianoukovitch. Mais l'inquiétude reste grande quant à l'avenir du pays.

 

 

 

 

 

THAILANDE - La tension ne diminue pas. Grenade au centre de Bangkok : deux morts. Deux personnes, dont un enfant de 12 ans, ont été tuées hier par une grenade qui a explosé dans un quartier commercial de Bangkok. Les craintes d'une escalade de la violence restent vives après de quatre mois de crise politique. Depuis le début, à l'automne, du mouvement qui demande la tête de Yingluck Shinawartra, Premier ministre, les rassemblements des manifestants ont été la cible de jets de grenades et de fusillades, de la part d'assaillants non identifiés.

 

 

 

La crise, qui a également donné lieu à des affrontements entre police et militants, a désormais fait 19 morts, dont une petite fille de 5 ans tuée par balle, samedi soir, par des tirs sur une manifestation. Trente personnes ont également été blessés lors de cette fusillade dans la province de Trat. Les protestataires ont condamné cette attaque, reprochant aux forces de l'ordre de n'avoir pas protégé les manifestants.

 

 

 

Outre la tête de Yingluck, les protestataires réclament la fin de l'influence de don frère, Thaksin Shinawatra, ancien Premier ministre renversé par un coup d'Etat en 2006, et qui reste malgré son exil le personnage le plus aimé et le plus haï du royaume.

 

 

 

 

 

MUNICIPALES - Les grandes batailles de 2014. Paris, une affaire de femmes. Pour la première fois, une femme dirigera la plus grande ville de France. L'héritière Anne Hidalgo (PS, 54 ans, première adjointe de Bertrand Delanoë depuis 2001) reste favorite face à Nathalie Kosciusko-Morizet (UMP, 40 ans, polytechnicienne, vainqueur de la primaire UMP).

 

 

 

 

SOCIETE - Projet d'aéroport de Notre-Dames-des-Landes. Pourquoi la manifestation a dégénéré. Qui sont les opposants au futur aéroport de Nantes ? Sont-ils responsables des dégradations commises en marge du cortège de samedi ? La question est en train de prendre une tournure politique.