Entre 2005 et 2009, la mortalité infantile avait stagné en France. En 2010 et 2011, elle a à nouveau baissé, pour atteindre 3,5 décès pour 1 000 enfants nés vivants. Ces chiffres portent sur les enfants de moins d'un an. La baisse révélée par l'Insee concerne autant la mortalité la plus précoce, celle des enfants de moins de sept jours, que la mortalité la plus tardive. En 2001, ce taux atteignait 4,6 décès pour 1 000 bébés. La France suit ainsi une tendance européenne, la moyenne de ses 26 voisins étant de 4 décès pour 1 000 naissances. |
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