le Progrès du mardi 15 août 2017
Le pays, en crise politique, pourrait être en défaut de paiement. Il doit rembourser plus de 100 milliards de dollars. Jusqu'à présent, il fait tout pour payer en priorité ses échéances de dette plutôt que d'importer nourriture et médicaments. Si l'État ne remboursait pas alors l'accès aux marchés de capitaux se fermerait. Ses créanciers (Chine et Russie) pourraient alors saisir les actifs de la compagnie pétrolière d'État, PDVSA (pétroliers, raffineries, comptes bancaires...). De quoi aggraver la crise humaine. Pour beaucoup d'analystes, la seule option pour Caracas est de renégocier ses remboursement de dette. Mais le rejet international suscité par l'Assemblée constituante pourrait être un obstacle.
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